Le producteur et DJ François Kraft, co-fondateur du label Cracki Records, nous parle de Belleville, de la forêt, de Berlin, de l'autre côté du périph', du romantisme d'Oasis, de la Jamaïque et de son coup de foudre à retardement pour le reggaeton.
La Quarte et le Territoire est un podcast consacré aux acteurs et actrices du monde de la musique et à leur relation au territoire. Le territoire, un mot à la mode qu'il convient de définir. Que représente-t-il pour les artistes, alors que les professeurs d'enseignement artistique appartiennent justement à la fonction publique « territoriale » ? Quelles empreintes laisse-t-il chez les poètes du son ? Je suis Clémence Baillot d’Estivaux, violoncelliste, chanteuse, autrice-compositrice, professeure de violoncelle, et un lundi sur deux, je donne rendez-vous en tête-à-tête à un musicien, une musicienne, un producteur ou une productrice, et, au fil de cartes que je leur montre, nous parlons de leur histoire géographique, de ce qu’ils ou elles font dans la vie, de leurs manières de créer et de leur manière d’habiter notre monde. Nouvel épisode disponible chaque premier lundi du mois.
Le producteur et DJ François Kraft, co-fondateur du label Cracki Records, nous parle de Belleville, de la forêt, de Berlin, de l'autre côté du périph', du romantisme d'Oasis, de la Jamaïque et de son coup de foudre à retardement pour le reggaeton.
Martín Ackerman, guitariste et compositeur franco-argentin, nous parle de son enfance à Buenos Aires, de l'influence de la musique brésilienne sur sa pratique, de Caetano Veloso, du lien entre l'Argentine et l'Italie, de la Princesse Caroline de Monaco, de son bilan carbone et du rôle de l'Amour dans le territoire.
Le violoncelliste David Rodríguez-Gil (@deibidovich) raconte son Mexique natal, son rapport à la culture colonisée, son goût pour la cuisine, l'art de la joie et le pouvoir du vélo dans nos vies.
Dans ce neuvième épisode, la saxophoniste Carmen Lefrançois nous parle de la Coopérative Warning, de sa Normandie natale jusqu'à Saint-Bérain-sur-Dheune, son territoire d'adoption, du souffle, de Mafalda et de son goût pour les chemins les plus longs.
À l'occasion de la sortie de son album Exil(s), la violoniste Elsa Moatti nous parle de ses différentes terres, de Paris, de l'Irlande, de la Finlande, du conservatoire dans lequel elle enseigne, et fait l'éloge du voyage et du "mauvais" temps.